ATTALI, Jacques, Histoires du Temps, Fayard, 1982

 < VERNANT, Jean-Pierre, Mythe et pensée chez les Grecs

< JUNGER, Ernst, Essai sur le temps, Bourgois, 1980

< LE GOFF, Pour un autre Moyen Age

Entre autres recopiages :

ATTALI, Jacques , Histoires du Temps

LE GOFF, Pour un autre Moyen Age

Montaigne (171), dans son  » Voyage en Italie « , après d’autres voyageurs des XVe et XVIe siècles, note la confusion qui résulte de l’origine changeante du temps d’une ville à l’autre.

Montaigne, dans le  » Voyage en Italie « , après d’autres voyageurs des XVe et XVIe siècles, note la confusion, le désordre qui naît de ce temps à l’origine changeante d’une ville à l’autre.

ATTALI, Jacques , Histoires du Temps

VERNANT, Jean-Pierre, Mythe et pensée chez les Grecs

Depuis cet âge, chaque race humaine possède sa temporalité propre, son  » Age « , qui exprime sa nature particulière, et qui, au même titre que son genre de vie, ses activités, ses qualités et ses défauts, définit son statut et l’oppose aux autres races.

Chaque race possède sa temporalité propre, son âge, qui exprime sa nature particulière et qui, au même titre que son genre de vie, ses activités, ses qualités et ses défauts, définit son statut et l’oppose aux autres races.

Comme le note plaisamment le Canard enchaîné du 12 janvier 1983, Attali s’attribue par la note 171 ( » note 171 : Montaigne (Michel de),  » Journal de son voyage en Italie de 1580 et 1581 « , Paris, Hachette, 1906.) le mérite d’avoir dégotté lui-même l’idée de Montaigne, alors qu’il l’a trouvée dans Le Goff !

Certes, les noms des divers auteurs chez qui a puisé Jacques Attali sont signalés en fin de volume, mais les citations elles-mêmes ne sont pas entre guillemets. Le lecteur ne peut donc évaluer la nature et l’étendue des emprunts.